Monday, January 23, 2012

Le signe du poisson




Vous avez peut être vu un poisson au dos d'une voiture, d'une moto ou d'un scooter... mais vous vous demandez bien ce que ce signe veut dire...

Qu’est-ce que le signe du poisson ?

Ce drôle de symbole en forme de poisson apparaît partout de nos jours, que ce soit à l’arrière des véhicules automobiles et motos comme tout aussi bien sur les sacs de voyage en passant par les instruments de musique, les T-shirts et blousons voire en pin’s, broche etc. Qu’est-ce que le signe du poisson (Ichtus) ?
Un logo publicitaire de plus ? Un gadget ?

Un cryptogramme

Loin d’être un gadget publicitaire, lorsqu’une personne arbore ce signe, c’est en fait pour témoigner de son appartenance non pas à un mouvement de lutte quelconque mais à une Personne, celle de Jésus-Christ.
Ce poisson est un cryptogramme, une sorte de code de reconnaissance, de code secret qu’utilisaient quelquefois les chrétiens des premiers siècles dont la langue principale était le grec.
Ce symbole fût retrouvé dans les catacombes où il était utilisé pour se rassembler lors des violentes répressions qu’exerçaient les autorités romaines de l’époque à l’encontre des premiers chrétiens.

ICHTUS

Pourquoi un poisson et non pas un autre symbole ? Parce qu’en grec, langue de l’époque, le mot poisson se disait ICHTHUS et les premiers chrétiens eurent très tôt fait de remarquer que chacune des lettres de ce mot était en fait l’initiale du nom de leur Sauveur :

I esum

C hristus

T heou

U liou

S oter

En français : Jésus-Christ, Fils de Dieu, Sauveur.

Celui qui utilise ce symbole est il membre d’une église particulière ?
Non, le signe du poisson (ICHTUS) est le signe des chrétiens, sans distinction de confession. En fait ce signe est, pour les chrétiens, un symbole de rassemblement, un peu comme celui de la croix.



Source http://langedeleternel.centerblog.net/rub-Des-anecdotes-chretiennes-.html

Saturday, January 21, 2012

POURQUOI LES FRANCOPHONES SONT À LA TRAÎNE


Manque d’infrastructures, culture d’entreprise moins développée, carences de la gouvernance… Dans un dossier spécial, Jeune Afrique explique pourquoi les États subsahariens adeptes de la langue de Molière sont souvent distancés par leurs voisins anglophones.
Sans aucun doute, l’Afrique subsaharienne francophone perd du terrain sur sa sœur anglophone, même en excluant l’Afrique du Sud. Sur les terres – plutôt dans l’ouest du continent – où fleurit la langue de Molière, c’est la langueur qui domine ; de Dakar à Yaoundé et Kinshasa, on rêve d’émigration. Sur les terres – plutôt dans l’Est – où règne celle de Shakespeare, l’activité est trépidante ; d’Accra à Lagos et Nairobi, on fourmille de projets et on règle ses factures d’un clic ou par téléphone. Pour mesurer ce décalage, laissons de côté la corruption et les conflits ethniques, des fléaux aussi répandus dans l’une de ces deux Afrique que dans l’autre. Oublions l’exception d’un Zimbabwe longtemps à la dérive, où les folies économiques d’un pouvoir autocratique avaient déchaîné une inflation de 200 000 000 %. Et tournons-nous vers les chiffres globaux. Ils sont implacables.


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